VIOLENCE - TERRORISME ET RELIGION « PAX ROMANA »
A l’instar de sa précédente trilogie [« Position » ; Tome I, « Sur l’imposture du Monument de la Renaissance Africaine » ; Tome II « Sur la Franc-Maçonnerie » ; Tome III, « Sur la Laïcité »], le présent essai de Papa Cheikh Jimbira-Sakho est structuré selon une périodisation ternaire s’étalant sur les deux mille ans de notre histoire, correspondant à ce qu’il est convenu d’appeler l’ère chrétienne. Dans ce tome premier, « Pax Romana », l’auteur procède à l’auscultation du triptyque « Religion - Terrorisme et Violence » dans l’Empire romain. Notamment, sur la séquence historique allant du règne de Jules César jusqu’à celui d’Héraclius Ier, c’est-à-dire durant les huit siècles de barbarie antique précédant l’épopée islamique initiée par le Prophète Mouhammad (spl) à La Mecque. Dans le « Préambule » de cette première articulation de sa réflexion, l’auteur clarifie d’abord le sens de l’expression « Pax Romana ». Ensuite, l’auteur évoque brièvement le fameux discours pontifical de Ratisbonne où Benoît XVI reprochait à l’Islam son amour de la « violence » (ex. « jihâd »). En guise d’entrée en matière, il retrace les temps forts de la séquence impériale romaine. Notamment, l’épopée de Jules César, celle de son successeur Octave Auguste, le premier « empereur » de Rome, jusqu’au règne du précité Héraclius Ier. L’auteur passe notamment en revue le règne dit des « quatre empereurs », ceux des Antonins, ceux des « Sévères », ceux des « Trente Tyrans », ceux des « Illyriens », ceux des « Constantiniens », des Valentiniens et des Théodosiens. Naturellement, l’auteur ne manque pas d’évoquer la séquence charnière des invasions de Rome par les Goths – Wisigoths et Ostrogoths - les Vandales et les Huns.
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